mercredi 23 décembre 2009

Nos meilleurs voeux!

Hola amigoAs!

Eh bien, nous nous la coulons douce encore une fois... Sámara nous permet de prendre ça cool en très bonne compagnie.

Ce message est simple mais voici nos bons souhaits pour Noël et le Nouvel An. Je me suis amusé à faire un sapin de noël un peu étrange mais qui se fond dans la nature.



Toutes nos salutations et on vous embrasse!

Rejuan y familia
xxx

lundi 21 décembre 2009

Joyeux Noël



La Reserve nacional de Monterverde est une cloud forest, littéralement une forêt dans les nuages. Nous sommes en altitude, à la hauteur des nuages avec une humidité de 100%. Il fait frais et il y a presque toujours une petite bruine…ou carrément de la pluie ! et donc une végétation luxuriante et une faune abondante (coatis, singes, toucans, quetzales…)

Nous avons débuté par visite du jardin de Mariposas. On nous a initiés au cycle de vie des papillons, de pleins de papillons, mais aussi de différents insectes de cette partie du globe avec leurs particularités de camouflage, d’alimentation ou de reproduction. Dans les serres, ça voletait tout autour de nous. On a même appris comment prendre un papillon sans le blesser ! Même le fameux morpho bleu ! Pensez vous que les filles ont aimé ça ?

Le lendemain, nous avons parcouru le sentier de la Cascade juste en face de chez Charly. Riches de nos apprentissages de la veille, nous étions à la recherche des insectes bâtons, des milles pattes, etc. Nous avons croisé des papillons morpho bleus, des transparents et bien d’autres. Eve a aussi découvert avec son œil de lynx une petite rana vidrio (grenouille de vitre).





Puis nous avons choisi une autre randonnée qui comporte plusieurs ponts suspendus. Cela donne l’avantage d’observer ce qui se passe à la cime des arbres de cette dense forêt. Ici, un arbre mature peut abriter jusqu’à 200 espèces d’autres végétaux ! La plupart de vos plantes de maison poussent ici en version sauvage et géante !



Puis on a mis le cap sur le volcan Arenal en faisant le tour du lac du même nom. Vraiment un beau paysage, mais quelle route ! De Santa Elena à Tilaran, il faut presque 2 heures pour parcourir 40 km de route de terre (ou plutôt de bouette) ! Ensuite vient l’asphalte (vive le progrès!) avec 2 heures de courbes ! Quand on réussi à détacher le regard de la route, le décor est très joli !



Et nous voilà à La Fortuna, au pied du célèbre volcan, il pleut à boire debout…depuis 3 jours. Verrons-nous le fameux sommet cracheur de feu ?????????? en attendant on se divertit en regardant les coatis complètement détrempés, en s’entrainant au canopy. Et comme il faut bien se laver, on s’est arrêtés dans une rivière gracieusement chauffée par le volcan Arenal.



Une petite méditation porte toujours ses fruits…



Qu’avons-nous aperçu à la sortie du bain ?



Eh oui ! Notre bonne étoile est toujours là !



De là, on se demandait où on allait, quoi faire pour noël ? C’est alors qu’on a reçu un message de nos amis allemands Carina et Oliver (rencontrés au Mexique et au Guatemala) nous proposant une rencontre à Sámara. Como no ! Vamos !

Du camping de Sámara, on vous souhaite à tous à très joyeux temps des fêtes ! Alegria, paz y prosperidad ! Voici des vœux de chacun de nous. Vous pouvez vous amusez à trouver qui a dit quoi !

1. Prenez le temps d’aimer ceux que vous aimez et de regarder la beauté du monde.
2. Nous allons tous bien. Que tout aille bien pour vous aussi ! Joyeux Noël et bonne Année grand nez!
3. Je vous souhaite beaucoup de calme.
4. Un bon noël à vous tous et au père Noël aussi avec ses lutins.

N’hésitez pas à nous faire parvenir vos vœux sur ce blog ou par courriel yo.dro@hotmail.com. Nous n’avons pas internet au Camping, mais nous irons au café internet régulièrement.

Comme dirait mon amie Marjo : « MMMMMMMMMMMMMMMMouan ! gros bisou de nous 4

En attendant, Voici un aperçu du yoga à Samara...

4

lundi 14 décembre 2009

De la mécanique à la nature du Costa Rica

Finalement la réparation de l’auto aura été plus simple que prévu. Le mécanicien nous a assuré qu’il avait déjà vu ça. Nous avons suivi son conseil et l’avons laissé installer 2 refroidisseurs et déconnecter le radiateur… La suite du voyage se chargera de nous dire si son diagnostic était le bon. Comme dirait notre ami Pablo, « voyager, c’est aussi beaucoup faire confiance».

De San Ramon, nous sommes retournés sur la côte ouest pour aller visiter la Parc Manuel Antonio. Outre le fait de pouvoir avancer dans une jungle, les sentiers nous permis d’observer la végétation et quelques animaux, au plus grand plaisir des filles…et du nôtre !




Comme l’aguti qui grignotait une noix, ou les singes capucins qui fouillaient les sacs des touristes laissées sur la plage à la recherche de denrées comestibles, ou ce paresseux qui remontait sur une branche len-te-ment , sûrement pour faire un somme !



Après cette randonnée, dans une chaleur moite, aucun centimètre carré de nos corps n’étaient épargné par la sueur. La baignade dans la petite baie du parc fut donc délicieusement bienvenue.

Pour se détendre encore un peu plus, nous nous sommes rendu à Dominical où nous nous sommes prélassés 2 jours avec piscine, tv et air climatisé. De là, nous avons décidé de remonter lentement vers le nord tout en visitant des lieux nouveaux.



Nous avons décidés de passer le test de la montée extrême et avons mis le cap à nouveau sur la Réserve biologique de Monteverde. Le mécanicien devait avoir raison, notre véhicule, et son chauffeur ! nous ont amenés à destination.

Comme nous cherchions le camping Charly, nous avons demandé à quelqu’un sur le bord de la route. « Soy Charly. Mi casa esta aya. Vengan, les voy a enseñar.» Le manque d’affiche est largement compensé par l’accueil super sympathique. Une petite cabane sur le bord de la rivière en cascade. Sous le prolongement du toit de tôle, son atelier. Charly est un artiste qui récupère le métal et transforme les « déchets » en œuvres d’art. C'est dans sa cour que nous camperons.

Tous les détails dans le prochain message !

lundi 7 décembre 2009

du snorkeling à la mécanique

Finalement, nous aurons passé 10 jours à Samara ! Nos amis nous ont initiés au snorkeling, observation de la vie aquatique avec masque, tuba et palmes. On a trippé là-dessus. Déjà se baigner dans la mer est plaisant, mais découvrir l’abondante vie qui se cache sous la surface est fascinante et ouvre une toute autre dimension. Ce sera notre prochain achat : équipement pour toute la famille !

Voici nos initiateurs : Ana et Pablo qui en plus d’observer ont ramené une partie du souper. Ce sont eux qui font le tour du monde en 10 ans dans une camionnette. Ils sont à l’année 9 ½ ! Voici leur blog : 4x4x4continentes.com



Et puis Zulema, une argentaine, la soixantaine bien sonnée, qui parcours l’Amérique centrale dans son 4x4 en compagnie de son chien.



Le plein d’amitié et de bonnes bouffes autour du feu étant fait, nous reprenons la route pour aller découvrir les cloud forests du parc Monterverde et le volcan Arenal avec ses sources chaudes. Mais à quelques dizaines de la cible, notre véhicule proteste et réclame qu’on s’occupe de lui. Comme nous sommes dans un petit village, et qu’ils n’ont les équipements nécessaires, le mécanicien nous suggère de se rendre à la ville la plus proche, San Ramon. Tant que la route ne grimpe pas trop, notre véhicule devrait accepter de rouler. Comme c’est un dimanche, rien ne presse car tous les garages sont fermés.

Nous faisons donc un détour pour voir la ville de Puntarenas. Une petite ville toute en longueur bordée d’un côté par une rivière et de l’autre par la mer. Et tout au long de ce côté, s’étire une plage qui attire pas mal flâneurs ticos (costa ricains) ou étrangers. La route longe la plage et cette dernière est garnie d’un chapelet de petits hôtels, restaurants et boutiques de souvenirs. Nous y dénichons un délicieux café expresso. Après le charme simple et naturel de Samara, Puntarenas ne nous retiens guère.

Finalement, notre véhicule est d’avis que la route grimpe un peu pour arriver à San Ramon … mais nous y arrivons sans problème ! Ici, aucun touriste, pas beaucoup d’attraits non plus. C’est le vrai Costa Rica, la vie ordinaire, avec un atout qui nous séduit : la température extérieure. Il ne fait que 26 degrés ! Ça fait du bien !

lundi 30 novembre 2009

de pays en pays

San Juan del sur
Salut !

Voici déjà un bon moment que nous n'avions pas donné de nouvelles. C'est que nous étions occupés à traverser quelques pays... Après le Guatemala, nous avons traversés rapidement El Salvador et Honduras en se disant que nous pourrions nous reprendre au retour si la température et le climat politique sont plus favorables. Au Nicaragua, Nous avons fait quelques escales, dont celle de San Juan del Sur que nous avons trouvé bien sympathique dans la petite maison de chambre de Martha où régnait une ambiance familiale et où les échanges avec les autres touristes, autour de la table du patio, occupaient les heures les plus chaudes de la journées.



Une petite ville sans prétention du côté pacifique, avec des avec des vagues rendues plus "abordables" par la protection de la baie. Les enfants adoraient jouer dans l'eau. Mais dans fraîcheur de l'eau, se cachait une raie qui n'a pas aimé que Charlotte lui pile dessus. La bête l'a piqué lui infligeant une douleur "horrible" (qualificatif utilisé par les gens de la place). Heureusement, Martha savait quoi faire : mettre le pied dans l'eau très chaude arrête la douleur presqu'instantanément. Et puis l'amitié avec Victoria et les soins de Martha, en plus des nôtres, ont adouci l'aventure. Fiou !

Et puis ce fut l'entrée au Costa Rica. Vraiment les frontières peuvent mettre la patience à l'épreuve. A cette dernière, il manquait d'électricité et il fallait attendre qu'elle revienne pour pouvoir acheter l'assurance du véhicule ! En passant, merci à Réjean pour toutes ces négociations à chaque pays.

Enfin, après une étape décevante à Playa del coco, nous avons mis le cap sur Samara, toujours sur la côte pacifique. Il fait chaud, très chaud. A 9h00 am, il fait déjà 32 à l'ombre ! Nous sommes dans un camping, un peu délabré (mais pas cher !) qui donne directement sur la mer. La séduction n'a pas opéré tout de suite. Pourtant... nous y sommes depuis une semaine !


Les levers de soleil, les chevaux en liberté sur la plage, les vagues à la fois puissantes, douces et chaudes participent au charme naturel de l'endroit... Mais plus que cela, ce sont les amitiés tissées en quelques jours qui nous ont fait "accrocher". Avec Olga, une artisane de Catalogne qui vit ici actuellement ici et fait des bijoux en utilisant le bois de la noix coco et qui nous apprend à tisser des bracelets. Avec Ana et Pablo qui sont en voyage depuis 9 ans et font le tour du monde, lui est argentin, elle vient de Catalogne en Espagne. Et même avec Bandido, un des chiens de la plage, avec ses oreilles démesurées.



Entourés de ces personnes simples, généreuses et calmes, il fait bon partager nos repas, nos histoires...et des cours de yoga !



Nous avons cessé de dire que nous partions demain, on verra bien !

Om shanti

mardi 17 novembre 2009

camping et noix de macadam



A Antigua, nous avons passé quelques jours avec nos amis allemands dans les ruines qu'occupe la police touristique... Un camping rustique mais gratuit avec vu sur les volcans Fuego et Agua !



A travers ces mêmes ruines, nous avons découvert un arbre mangeur de pierres...



A quelques kilomètres de là, nous avons visité une plantation bio d'arbres de noix de macadam. Un projet innovateur pour aider les villages à s'autosuffire puisque ces arbres donne des noix tout au long de l'année, que la première écorce peut servir à faire du compost et que la coquille peut servir de bois de chauffage. De plus, la noix est sans gluten, contribue à réduire le cholestérol et est une bonne source de protéines et vitamines. Toute la production peut se faire sans électricité et en utilisant des machines simples et faciles à fabriquer à moindre coût. Les noix tombent au sol quand elles sont prêtes. On retire ensuite la première enveloppe et on passe au séchage pour 20 jours. Elles sont ensuite triées par grosseurs et envoyées à une usine "écaleuse".



Après la visite, on nous a offert un facial à l'huile et à la crème de noix, des noix salées ou enrobées de chocolat. On s'est aussi laissé tenter par un smoothie au bleuets et noix, ainsi que des crêpes, vous l'aurez deviné, avec de la farine de noix ! Mmmmmmmmmmmm ! Une visite super intéressante et délicieuse !

leur slogan...

Hasta luego !

vendredi 13 novembre 2009

Volcán el Pacaya, Guatemala

Difficile mais... Wow!!!




Comme je le disais au début du petit vidéo, le sommet du volcan est à 2552 mètres d'altitude du niveau de la mer. Quelle aventure! La journée précédent l'excursion, je suis allé prendre des infos pour savoir si les filles pouvaient monter. Sin problemas, m'a-t-il dit! Finalement, ce fut plutôt difficile, pas seulement pour Charlotte et Eve mais pour les parents. Nous avons quitté Antigua dans un minibus vers 14h30 avec 8 autres touristes pour monter le volcan. Rendu à l'endroit où nous laissait le chauffeur, une ribambelle de jeunes guatemaltèques nous attendaient pour nous louer des bâtons de marche ( 5 quetzal, 0,75$). Je vous dis que ça valait la peine de les prendre. Notre guide Claudio nous explique que nous grimperons 4km pendant 2h pour arriver près du sommet du volcan où nous devrions voir une rivière de lave couler. Au départ, tout se passe bien. Les filles marchent d'un bon pas et semblent prêtes à gravir la montagne. Après une heure de montée, nous commençons à tirer de la langue mais nous n'avions encore rien vu parce que nous marchions dans la forêt sans sentir le vent qui allait nous rendre la vie un peu plus difficile. Ça y est le vent se lève et déjà nous devons lui résister pour continuer la montée. C'était magnifique de voir le sommet au loin mais difficile de s'imaginer que nous allions l'atteindre. Les dernièrs 40 minutes furent atroces, difficile de respirer. Je me préparais à redescendre avec les filles et je ne croyais pas qu'elles allaient réussir. Chaque pas devenait de plus en plus lourd et le terrain se transformait en épaisses croûtes de lave refroidies. On trébuchait, on s'écorchait les mains sur les roches inhospitalières. Nous étions épuisés et n'avions toujours pas vu cette maud.... lave. Tout à coup, la chaleur du sol devint de plus en plus dense. Entre les rochers apparaissent des failles incandescentes et enfin la récompense... Une rivière de lave rouge coulait à quelques mètres de nous et nous réchauffait.

Ce n'était pas terminé, maintenant, il fallait redescendre et ce n'était pas plus rigolo! De plus, le soleil se couchait et la noirceur et le froid arrivaient rapidement. Pendant la descente, les jambes fatiguées se faisaient moins sures. Je demande à Nathalie si elle a ramassé une roche et j'ai peine à entendre sa réponse dans le vent hurlant "OUI, cri...!!%#£**!" Nous avancions à lueur des lampes frontales et des étoiles. La vallée étaient remplies des lumières de la vaste Guatemala ciudad. Les cuisses brûlantes et les genoux vacillants devaient poursuivre leur travail sur le sentier parsemé de roches, de racines et de crottin de cheval. Arrivés au village à la base du volcan, les enfants nous assaillent à nouveau pour récupérer leurs bâtons. Le bus nous attend pour nous nous ramener à Antigua. Nous avons encore 1h45 à faire sur une de ces routes montagneuses qui donne mal au coeur. Nous arrivons enfin à 21h00, exténués.

Woow! Quelle aventure ! Grandiose ! Difficile ! Inoubliable !

Un bravo particulier à Charlotte et Ève qui ont persévéré et fait la randonnée jusqu'au bout ! Nous sommes à la fois surpris et fiers.

Réjean




lundi 9 novembre 2009

Passage au Guatemala

Après notre passage à Palenque, nous avons quitté le Chiapas et sommes entrés au Guatemala. Notre bonne étoile était au rendez-vous puisque nous n'avions pas l'original des immatriculations pour le véhicule. L'officier du Guatémala ne s'en est pas offusqué. Réjean a tout réglé au bureau, il a montré nos passeports, mais il n'a même pas vu nos faces en vrai. Bref, le poste frontalier (ci-dessous) était assez dépaysant. Nous devions payer pour la fumigation obligatoire du véhicule et changer nos Pesos mexicains pour des Quetzales sur le marché noir puisque les banques ne les changent pas... Autres lieux, autres moeurs !

Le Guatemala, comme le Mexique, est très montagneux. Ce qui donne donne lieu a de superbes paysages et a des techniques de cultures créatives, chaque parcelle de terre le moindrement horizontale est un cadeau à exploiter, comme un bord de route par exemple ! Et le légendaires, colorés et immanquables bus se font déjà abondants.




Nous nous arrêtons à Huehuetenango pour une nuit et une expérience culinaire ...déguelasse ! On a rit comme des fous. Heureusement nous avons eu depuis de meilleurs repas ! Nous avons mis le cap sur San pedro, petit pueblo en bordure du Lac Atitlan. Apparamment, un des plus beaux site du monde. La descente est impressionnante, la route hallucinante. Le lac est entouré de 3 volcans au sommet desquels s'accrochent quelques nuages. San Pedro est un village assez traditionnel malgré le tourisme croissant. La plupart des habitants parlent tzutujil et sont mayas. Au musée, on a expliqué la formation du lac et des volcans de la région, avec l'histoire et un peu de la culture comprenant entre autres, l'explication du calendrier maya ainsi que notre astrologie.



On s'est d'abord installé dans ce qui ressemble le plus a camping... on avait très soif !Puis on s'est pris une chambre dans le même hôtel que l'autre famille de Québécois que nous avons à nouveau rencontré ici. Nous avons aussi fait connaissance avec Steeve, un grand voyageur, ainsi qu'avec Guillaume, nul autre que le petit fils de Toussaint Brodeur de St-Élie de Caxton ! Vous pouvez vous imaginez que de passer du temps avec le petit fils d'un des personnages principaux de M'sieur Pellerin, à San Pedro la laguna, Guate nous a grandement surpris et fait plaisir. Il ne retient pas des voisins et a aussi un grande facilité à raconter des histoires. Gracias Guillaume!



Nous aurons donc passé 4 jours au lac Atitlán et fait le tour en bateau de quelques pueblos qui bordent ce lac. Pour quitter cet endroit nous devons à nouveau faire la route en sens inverse avec ses courbes et ses pentes abruptes! Notre safari condo tient bon et nous l'aimons beaucoup. Nous nous dirigeons, cette fois-ci, à Chichicastenango, où se tient tous les jeudi et dimanche, el mercado de artesanías.


Nous avons dégoté un hôtel super à 100$ US la nuit et finalement, nous avons dormi dans le stationnement de l'hôtel pour 8$ CAN. Chichicastenango demeure un des endroit les plus populaires pour les achats d'artisanat local. Nous avons, bien entendu, acheté quelques souvenirs (masques, nappe, et foulard traditionnel que portent les messieurs de cette région).

Et c'est reparti pour Antigua, où nous trouvons un hôtel avec une superbe cours intérieure.


Dans la ville cosmopolite, la vie autour du Parc central est animée par tous les étrangers, les vendeurs, les cireurs de souliers, les écoliers et les flâneurs.


En son centre, un grande fontaine avec 4 sirènes qui laissent couler l'eau de leurs seins...les enfants trouvaient ça un peu étrange...! mais l'effet d'ensemble est plutôt réussi ! Demain, nous déménageons nos pénates dans la cour de la police touristique. Comme ils ont beaucoup d'espace, ils acceptent que les touristes viennent installer leur "camper" et ce, gratuitement. Ce sont nos amis allemands, Carina et Oliver, qui nous ont refilé le tuyau, ils y sont installeésdepuis quelques jours. Notre véhicule sera donc bien en sécurité pendant que irons marcher sur le volcan Pacaya, en espérant que la température le permette !!!! hiiiiii !

En attendant, puisqu'il faut bien essayer les spécialités locales, nous dégustons un rhum de 23 ans reconnu comme le meilleur au monde, le Zacapa centenario. Il se prend sans liqueur ou glace pour ne pas rompre les 23 ans de travail...

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